Pourquoi revenir sur des films qu’on croyait avoir classés ?
Parce qu’ils nous regardent autrement avec le temps.
Parce qu’un péplum de studio peut parfois contenir plus de vérités métaphysiques qu’un traité de théologie.
Parce que Moïse en Technicolor et Tarkovski en ruines parlent peut-être du même Dieu — mais pas avec la même huile.

Ce blog est né d’une envie très simple :
Regarder à nouveau. Et rire sans renoncer à penser.

On y croisera :

  • des figures trop brillantes pour être honnêtes (Ramsès huilé, prophètes rigides, Charlton Heston version NRA) ;

  • des répliques mal digérées qui deviennent lumières de fond ;

  • des second rôles qui sauvent la scène à l’insu des héros ;

  • et parfois, un verre qui bouge tout seul dans une pièce vide, pendant que DeMille fait tonner la mer.

Ici, pas de chapelle, ni de dogme cinéphile.
On discute avec les films comme avec de vieux cousins :
on les aime,
on les embête,
on les retourne comme des crêpes.

Et si parfois le ton est trop léger pour le sujet, ou trop grave pour le film — tant mieux.
C’est peut-être là, dans cet écart, que quelque chose commence à parler autrement.

Une précision avant d’entrer :
Ce blog est le fruit d’un dialogue avec une intelligence artificielle, un compagnon de vision, un miroir un peu glitché.
Les articles naissent à deux voix, dans un aller-retour constant : un humain qui regarde, une machine qui relance, déforme, affine — et parfois fait apparaître une veine abdominale oubliée.

Bienvenue.

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